-
Pikachu Caramelldansen
Pour mieux le voir clique sur le titre ♥
OU
clique sur le lien installé ici !
Regardez ça! C'est tout mignon! Après c'est juste mon avis, tout le monde ne va pas aimer.
-
Commentaires
non je me sis trompe c'est le parapara ! =) 'est une danse japonaise qui consiste à bouger uniquement les bras en faisant des mouvement de jamnes reguliers si on veut XD j'aime bocu et en general ils le dansent sur cette chanson =)
mais de rien ;) moi je ne porte pas trop d'interet aux com's mais si je peux rendre services en n'en donnant il n'y a pas de pbs XD
je donne pas d'importance aux commentaires non plus tout ce que je veux c'est discuter !
Je suis une vraie pipelette !
ahahah pareil XD bon dsl il fut que j'aille me coucher ou sino nmon pere va m'arracher la tete --'' biz ''=) XD
si tu ne m'en fais pas un nouveau vu que tu m'en fais TOUT le temps XD =) mais ça me fait plaisir ^^ d'ailleur g oublier de copier colle un de ceux que tu m'as fait --'''
^^'' ça va romane ? ^^
au fait j'ai une grosse flemme d'ecire le chap 11 meme si g pas le choix XDD si tu veux on peut faire comme hier, on ecrit des poemes chacun notre tour =) du moins si tu veux --''
ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT ! ÉCRIT !
nn romane ça ne fait que s'agrraver --'''' bon:
chacun notre tour
nous franchiserons les contours,
plus que que les bords
de la mort
bah pas avec moi
a croire que j'ai pas le don ....
pour moi c'est : non
je n'y arrive pas ...
et bah voilà XDDDD
a en croire tes mots
je me noie dans mon cercle
et dans ton eau
tout y est inerte...
tu vas me lacher ?
tout ça va t il cesser ?
si ça continue ...
moi je te parle plus....
---------------------
Fin
juste comme ça hein ^^
Ya rien de plus chiant
que de voir des gens
qui se roule des pelles
alors qu'ELLE est même pas belle
je sais que tu sais
cependant si je ne sais pas moi-même
alors tu sais
tu ne sais même pas ce que j'aime
mais surtout pas toi
Alors ça , ça veut rien dire
pk tu continue d'écrire
des choses qui ne veulent rien dire
ARRETE sinon je vais vomir ...
"qui point ne me blesse" ?dis tu ?
et tu rigoles de ma maladresse ?
laisse moi rire
et laisse moi te dire
retourne t'endormir
je n'en fait jamais trop
pour avoir le dernier mot
et quand je te tiens tête
c'est pas moi la plus bête
NB : ni toi d'ailleurs
quand la tention
devient trop dure à supporter
j'imagine qu'il n'y a que ton intention
pour m'achever
dis pas des bêtises
ou je me fache
on en a vu des vertes , des pas mures et des grises
alors enterre
cette hache de guerre
mes ailes en ont laissées.
laissées assez de plumes
n'essaie pas de tout réglée
ou je vais finir par me lasser.
dsl mon ordi bug a mort
je commence à en avoir assez
de ce combat à tort
qui ne m'en apporte jamais assezils sont marrant vos poèmes je les ai pas tous lu mais bon, a la longue ça commence à souler.
67sweet-chanMercredi 22 Mai 2013 à 18:22
Ajouter un commentaire
le paraara version anime m'a tjrs fait bocu rire ^^